4es de couverture


  • Quatrième de couverture du numéro 20, Temps critiques

    L’État a perdu l’autonomie relative qui était la sienne dans la société de classes à l’époque des États-nations. Il ne peut plus être perçu comme la superstructure politique d’une infrastructure capitaliste comme le concevait le marxisme. Son passage progressif à une forme réseau à travers laquelle il est présent, actif et englobant, tend à agréger État et capital. L’État n’est plus en surplomb de la société, puisqu’il a recours à différentes formes d’intermédiation qui tendent à (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 19, Temps critiques

    La tendance actuelle du capital à privilégier la capitalisation (ses formes liquides et financières) plutôt que l’accumulation (de nouvelles forces productives et immobilisations), s’appuie sur une organisation dans laquelle les flux de production et d’information, de finance et de personnes, dépendent des jeux de puissance au sein de réseaux interconnectés, mais malgré tout hiérarchisés. L’État a perdu l’autonomie relative qui était la sienne dans la société de classes à l’époque des (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 18, Temps critiques

    Le capital, dans ses nouvelles tendances (capitalisation plutôt qu’accumulation, reproduction « rétrécie »), s’appuie sur une organisation dans laquelle les flux de production et d’information, de finance et de personnes, ne dépendent pas seulement de la logique du profit, mais aussi des jeux de puissance au sein de réseaux interconnectés mais malgré tout hiérarchisés. Aujourd’hui, l’État a perdu l’autonomie relative qui était la sienne dans la société de classes à l’époque des (...)

  • Quatrième de couverture des numéros 16 & 17, Temps critiques

    Le capital, dans ses nouvelles tendances, s’appuie sur une organisation en réseaux où les flux de matière et d’énergie ne dépendent pas seulement de la logique du profit, mais aussi des jeux de puissance au sein de ces réseaux. Aujourd’hui, l’État a perdu l’autonomie relative qui était la sienne dans la société de classes. La forme contemporaine de l’État-réseau, présent et actif partout, participatif et englobant, ne se pose plus en superstructure par rapport à une infrastructure (...)

  • Quatrième de couverture des numéros 14 & 15, Temps critiques

    La société actuelle n’a plus qu’un lointain rapport avec la société bourgeoise qui s’est pleinement développée pendant les deux premières révolutions industrielles. Le cycle des révolutions (1905-1937) s’est achevé dans la défaite : stalinisme, fascismes et guerre. Les restructurations qui ont suivi (État-providence, fordisme et « société de consommation ») marquent la formation d’une société capitalisée dans laquelle la puissance du processus de valorisation antérieur sert de base à des (...)

  • Quatrième de couverture des numéros 12 & 13, Temps critiques

    La société actuelle n’a plus qu’un lointain rapport avec la société bourgeoise qui s’est pleinement développée pendant les deux premières révolutions industrielles. Les révolutions des années 20 (mais cela inclut aussi la Russie de 1905-1917 et l’Espagne de 1936), leur défaite et les restructurations qui ont suivi (État-providence, fascisme et guerre, fordisme et « société de consommation ») marquent l’avènement d’un système qu’on ne peut plus appeler capitaliste si ce n’est qu’il tient (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 11, Temps critiques

    Si le système capitaliste contrôle matériellement et stratégiquement l’espace-temps des êtres humains en réalisant l’unification de ses formes de domination (institutionnalisation du marché mondial, dissolution des classes-sujets, généralisation des formes politiques de la démocratie autoritaire et gestionnaire), il n’en a pas moins du mal à masquer son nihilisme qui le pousse à ne concevoir de communauté que désincarnée, dans laquelle les hommes ne seraient plus que des automates ou des « (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 10, Temps critiques

    Si le système capitaliste contrôle matériellement et stratégiquement l’espace-temps des êtres humains en réalisant l’unification de ses formes de domination (institutionnalisation du marché mondial, dissolution des classes-sujets, généralisation des formes politiques de la démocratie autoritaire et gestionnaire), il n’en a pas moins du mal à masquer son nihilisme qui le pousse à ne concevoir de communauté que désincarnée, dans laquelle les hommes ne seraient plus que des automates ou des « (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 9, Temps critiques

    Si le système capitaliste contrôle matériellement et stratégiquement l’espace-temps des êtres humains en réalisant l’unification de ses formes de domination (institutionnalisation du marché mondial, dissolution des classes-sujets, généralisation des formes politiques de la démocratie autoritaire et gestionnaire), il n’en a pas moins du mal à masquer son nihilisme qui le pousse à ne concevoir de communauté que désincarnée, dans laquelle les hommes ne seraient plus que des automates ou des « (...)

  • Quatrième de couverture des numéros 5 à 8, Temps critiques

    Le rapport social capitaliste tend à occuper tout l’espace-temps des êtres humains. Son triomphe apparent (marché mondial unique, unification des formes de gestion de la force de travail, unification des formes politiques dans la démocratie autoritaire) masque son nihilisme qui transparaît pourtant dans son utopie, laquelle constitue aussi sa limite : réaliser une communauté humaine où les hommes ne seraient plus que des automates. Au rythme actuel de son développement, il n’y aura (...)

  • Quatrième de couverture des numéros 3 & 4, Temps critiques

    Le rapport social capitaliste tend à occuper tout l’espace-temps des êtres humains. Son triomphe apparent (marché mondial unique, unification des formes de gestion de la force de travail, unification des formes politiques dans la démocratie autoritaire) masque son nihilisme qui transparaît pourtant dans son utopie, laquelle constitue aussi sa limite : réaliser une communauté humaine où les hommes ne seraient plus que des automates. Au rythme actuel de son développement, il n’y aura (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 2, Temps critiques

    Le rapport social capitaliste tend à occuper tout l’espace-temps des êtres humains. Son triomphe apparent (marché mondial unique, unification des formes de gestion de la force de travail, unification des formes politiques dans la démocratie autoritaire) masque son nihilisme qui transparaît pourtant dans son utopie, laquelle constitue aussi sa limite : réaliser une communauté humaine où les hommes ne seraient plus que des automates. Au rythme actuel de son développement, il n’y aura (...)

  • Quatrième de couverture du numéro 1, Temps critiques

    NOUS Le rapport social capitaliste tend à occuper tout l’espace-temps des êtres humains. Son apparent triomphe (marché mondial unique, unification des formes de gestion de la force de travail, unification des formes politiques dans la démocratie autoritaire), masque son nihilisme qui transparaît pourtant dans son utopie, laquelle constitue aussi sa limite : réaliser une communauté humaine où les hommes ne seraient plus que des automates. Au rythme actuel de son développement, il n’y (...)